Sur les routes, les forces de l’ordre peuvent être amenées à contrôler l’alcoolémie des conducteurs. En cas d’infraction, d’accident ou simplement lors de contrôles spécifiques, les agents peuvent mesurer le taux d’alcool de toute personne au volant. Mais les conducteurs sont-ils obligés de se soumettre à ce dépistage ? Que se passe-t-il si l’on refuse de souffler dans le ballon ?
En France, l’alcool au volant est rigoureusement encadré par la loi. En effet, la conduite en état d’ivresse reste l’une des premières causes d’accidents mortels sur les routes. Afin de savoir si un conducteur est apte à conduire ou non, la mesure retenue est l’alcoolémie, c’est-à-dire le taux d’alcool présent dans le sang. Il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur au seuil toléré par le Code de la route. Que dit la loi ? Quelles sont les sanctions encourues ?
Les préjugés ont souvent la vie dure, en particulier lorsqu’ils sont liés à la consommation d’alcool. Bon nombre d’idées reçues et de légendes urbaines circulent encore au sujet de l’alcool : la bière qui serait simplement désaltérante, les alcools qui rendraient moins ivres que d’autres ou encore le café qui éliminerait l’alcoolémie. Décryptage de toutes les fausses bonnes idées.
Il est des situations de la vie quotidienne pour lesquelles disposer d’une voiture est indispensable : aller faire ses courses, emmener ses enfants à l’école, trouver un emploi… La voiture sans permis (VSP) représente une alternative idéale pour les personnes ne pouvant – ou ne souhaitant – pas passer le permis de conduire. Qui peut conduire ce type de véhicules ? Que prévoit la loi concernant l’alcool au volant d’une voiture sans permis?
La conduite en état d’ivresse reste la cause d’un tiers des accidents mortels sur les routes françaises. Afin de lutter contre l’alcool au volant, il est indispensable de ne pas conduire après avoir consommé des boissons alcoolisées sans s’être auto-testé auparavant. Pour ce faire, l’utilisation d’un éthylotest est la solution la plus fiable et la plus rapide. Les éthylotests électroniques, notamment, sont des appareils simples d’usage, sûrs et réutilisables. Comment s’utilisent-ils ?
Il est pratiquement impossible d'estimer avec précision le nombre de verres à partir duquel un individu sera ivre, ni même le temps qui lui sera nécessaire pour éliminer l’alcool ingéré. Pour savoir si l’on est apte à conduire, il est important de s’autotester grâce à un éthylotest. Cet appareil permet d’évaluer l’alcoolémie en calculant le taux d’alcool présent dans l’air expiré. Comment fonctionne cet appareil et comment l’utiliser ?
Afin de lutter contre la conduite sous l’emprise de l’alcool, certains dispositifs permettent de mesurer l’imprégnation alcoolique d’un individu. Mais quelle est la différence entre les appareils vendus dans le commerce et ceux utilisés par les forces de l’ordre lors de contrôles routiers ? Qu’est-ce qui distingue un éthylomètre d’un éthylotest ? Le point sur ces technologies et leur finalité d’utilisation.
Dans l’objectif de renforcer la sécurité routière et de lutter contre la conduite sous l’emprise de l’alcool, les pouvoirs publics encouragent depuis plusieurs années l’auto-dépistage. En incitant les conducteurs à contrôler leur alcoolémie avant de prendre la route, le Gouvernement souhaite responsabiliser tout un chacun quant à la consommation d’alcool au volant. Ainsi, à compter du 1er juillet 2021, une nouvelle mesure de santé publique entre en vigueur : les commerces de boissons alcoolisées et notamment les cavistes, doivent systématiquement proposer des éthylotests à la vente.